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          Olivier Durand fait partie de ces artisans de la musique qui, tout au long d’une carrière, ont eu à cœur de peaufiner un travail de création, sachant être  suffisamment présent pour rendre ses arabesques musicales indispensables et suffisamment en retrait pour laisser s’épanouir la puissance du groupe.

Plus qu’un «guitar hero», ce Havrais né en 1967, a souhaité être un «guitariste heureux» suivant avec une indéfectible passion le chemin de ses amours musicales.

 

         Havrais de cœur et d’esprit, le musicien a mariné dans l’ambiance portuaire de sa ville de naissance. Ville écorchée dont on peut rappeler qu’elle fut le théâtre de multiples destructions guerrières. Ville ayant commis le délit de sale gueule, avec sa zone industrielle puante et ses quartiers populaires. Pourtant, sous la croûte âpre, et pour peu que l’on ait la curiosité de s’y attarder, Le Havre sait se faire attachante et c’est dans cet esprit de «rudesse à fleur de peau» qu’Olivier Durand a déployé son jeu de guitare.Ses jeux de guitares devrait-on plutôt dire. Car l’homme s’en est allé d’aventure en aventure, munie de son instrument comme certains se munissent d’un bâton de pèlerin.

 

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         À un peu plus 25 ans, après avoir participé à différentes expériences de groupes, il croise la route de Little Bob. C’est aux côtés du plus grand des rockers français, qu’Olivier sillonne les scènes d’ici et d’ailleurs pendant 9 ans. Avec Bob, il compose de nombreux titres pour les albums «Lost territories» (enregistré à Los Angeles) et «Blue Stories», album dont la chanson «Sheila and Willy» figure au générique du film «Le Havre» d'Aki Kaurismäki. Là, il rencontre un tas de musiciens - Kenny Margolis (ex-Mink De Ville, the Smithereens, Cracker), JJ Holiday (Imperial Crowns, Blues Brothers), Serge Teyssot-Gay, Denis Barthe (Noir Désir) et Jipé Nataf (les Innocents) entre autres. Autant de connections qui enrichiront son parcours.

C’est en participant à l’aventure Flag (trio composé d’Erik Houllemare, ex-City Kids et de Florent Barbier ex-Roadrunners), qu’il rencontre Jérôme Soligny, musicien journaliste havrais et grâce à ce dernier il croise le chemin d’Elliott Muphy. Nous sommes en 1996. Ce dernier est à la recherche d’un guitariste. Il eut été dommage de se priver d’une nouvelle aventure aux côtés du song-writer américain dont il deviendra le compagnon privilégié. Avec lui, il enregistre plus de 20 albums, et pas seulement en tant que musicien, mais également en tant qu’auteur et compositeur.

 

         Avec Elliott Murphy, le rythme des tournées est effréné (plus d’une centaine de concerts par an) et les kilomètres au compteur ne se comptent plus : l’Europe est sillonnée en long et en large, sans oublier une traditionnelle escale à New York...

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